24/09/2013 - MERCK ADMET L’INOCULATION DU VIRUS QUI PROVOQUE LE CANCER
VACCIN & CANCER
VACCIN & CANCER |
La division
vaccin de Merck, admet l’inoculation du virus qui provoque le cancer par le biais
de vaccins. L’interview choquante censurée menée par un médecin historien Edward
Shorter pour la télévision publique de Boston WGBH et Blackwell Science a été coupée
du livre “The Health Century” en raison de sa teneur – l’admission que Merck a traditionnellement
injecté le virus (SV40 et d’autres) dans la population partout dans le monde.
Ce passage
contenu dans le documentaire » In Lies We
Trust: The CIA, Hollywood & Bioterrorism », produit et librement crée par les
associations de protection des consommateurs et l’experts de santé publique, le
Dr Leonard Horowitz, caractérise l’entrevue avec le plus plus grand experts en vaccins
du monde, le Dr Maurice Hilleman, qui explique pourquoi Merck a propagé le sida,
la leucémie et d’autres fléaux horribles à travers le monde:
Production
des vaccins facultatifs et non facultatifs: On doit acquérir le germe de la maladie
(mais ce n’est pas le germe qui produit la maladie), une bactérie toxique ou un
virus « vivant »( il n’est pas possible d’avoir des virus «vivants» , puisque ce
ne sont pas des êtres vivants), qui doit être atténué, ou affaibli pour un usage
humain, avec une série d’étapes en passant les virus par les cultures de tissus
d’animaux à plusieurs reprises pour réduire la potentialité pathogène; exemple:
le vaccin associé à la rougeole, les oreillons et la rubéole est préparé dans l’embryon
du poussin, le virus de la poliomyélite à travers les reins de singe vert africain,
le virus de la rubéole à travers les cellules diploïdes humaines ou des organes
disséqués de fœtus avortés.
Comment
ils se produisent, c’est ce qu’explique le Dr Alain Scohl dans un article dans lequel
sont présentés les éléments les plus significatifs, paru sur le n. 4/97 de Kairos
où il affirme: « L’injection de vaccins est pratiquée en dépit de toutes les règles
de sécurité habituelles recommandées pour les traitements médicaux ». Les techniques
de préparation des vaccins sont tenues secrètes. Normalement, même les grands professeurs
ne les connaissent pas. Aujourd’hui, les vaccins viraux modernes sont préparés essentiellement
sur des cultures de cellules humaines, fœtales ou animales, cancérisées artificiellement,
pour les rendre littéralement immortelles ( elles se reproduisent toujours dans
les corps vivants), et avoir une certaine « stabilité du produit », quand il ne
s’agit pas de cellules déjà cancéreuses ( lymphomes ).
Pour
accroître le rendement de la production, les cellules « immortelles » sont « nourries
» avec du sérum sanguin de vache, qui possède un facteur de croissance particulièrement
actif. C’est juste le liquide de culture de ces cellules cancérisées qui est inoculé,
après filtration et traitement pour atténuer ou éliminer le virus. Il est absolument
impossible d’obtenir un produit pur. L’OMS « s’attend » pudiquement à une pureté de 90%.
Quels
sont les dangers? Avec ces vaccins sont inoculés dans notre organisme:
- Des
substances cancérogènes certainement dans d’énormes quantités
- Certains
outils (sur une échelle cellulaire) servis à la manipulation génétique (dans le
cas des vaccins génétiquement modifiés), telles que les enzymes et les portions
de l’ADN. Ce matériau peut déclencher à tout moment des variations du message génétique
chez le vacciné, aussi bien que le virus connu.
Pour
certains vaccins (polio et autres) sont utilisés des cultures de cellules de rein
de singe vert africain ( lequel est préparé avec le vaccin contre la polio – le
rein du singe contient un ancêtre du VIH, celui qui causerait le sida) le sérum
du veau et l’embryon de poussin sont des protéines étrangères, de la matière biologique
composée de cellules animales. Les virus appelés improprement «tués» Un virus ne
peut pas être tué puisqu’il n’est pas un être vivant, mais seulement une protéine
toxique contenant de l’ADN – il est rendu « inactif »- en réalité » affaibli « - avec la chaleur, des radiations
ou des produits chimiques, mais dans certains cas, un état fébrile peut réactiver
le virus. Le virus « affaibli » doit ensuite être renforcé avec des adjuvants (
boosters des anticorps ) et des stabilisants, en ajoutant des médicaments, des antibiotiques
et des désinfectants toxiques à la base de la préparation: néomycine, streptomycine, chlorure de sodium, hydroxyde
de sodium, hydroxyde d’aluminium, chlorhydrate d’aluminium, sorbitol, gélatine hydrolysée,
formaldéhyde (produit cancéreux) et le thimérosal (partie du mercure).
Etant
donné que cette « matière toxique organique » est injecté directement dans la circulation
sanguine, en ignorant tous les mécanismes de défense immunitaire naturelle, elle
peut aussi endommager notre structure génétique, ou immunodéprimer le sujet vacciné.
Plusieurs chercheurs ont constaté que les vaccins « trompent » le corps en le stimulant
pour se focaliser seulement sur un aspect (à savoir la production d’anticorps) des
stratégies multiples et complexes normalement disponibles pour le système immunitaire.
Les virus (protéines toxiques) des animaux utilisés dans les cultures de préparation
des vaccins et inoculés avec eux, peuvent « sauter » la barrière de l’espèce de
manière acculte et inobservable.
C’est
exactement ce qui s’est passé pendant les années 50 et 70, quand des millions de
personnes ont été infectées par le vaccin contre la polio (Sabin) et contaminées
par le virus SV-40 (virus du singe) et est passé par les organes du singe utilisé
pour préparer les vaccins.
Le SV-40
– contaminant - ( le 40ème virus de singe relevé depuis que les chercheurs ont commencé
à les observer ), est considéré comme un suppresseur puissant du système immunitaire,
un déclencheur puissant du VIH, le nom donné au virus du sida. Il se dit qu’il cause
un état clinique similaire au SIDA et a été également trouvé dans les tumeurs du
cerveau, dans la leucémie et autres cancers de l’homme.
Les
chercheurs le considèrent comme un virus qui provoque le cancer de la plèvre: le
mésothéliome.
Selon
le Dr David Kessler, ex fonctionnaire de la Food and Drug Administration, « seulement environ
1% des événements graves (réactions indésirables aux vaccins) est signalé à la FDA. Par conséquent, il est
tout à fait possible que chaque année des millions de personnes ont des réactions
indésirables aux vaccins obligatoires ». Le Dr Robert Mendelsohn, qui a souvent
critiqué la médecine officielle pour sa doctrine bigote a soutenu que les médecins
sont les prêtres qui distribuent de l’eau sainte sous la forme d’inoculations »
pour donner l’initiation rituelle de la grande industrie médicale à notre consécration.
Le Dr
Richard Moskowitz affirme: « Les vaccins sont devenus les sacrements de notre foi
dans la biotechnologie. Leur efficacité et leur sécurité sont largement vues comme
allant de soi et ne nécessitent pas d’autres preuves ». Chaque année, la FDA reçoit des milliers de rapports
de réactions indésirables dues aux vaccins. Ces données incluent des lésions cérébrales
et des décès. Ces informations sont stockées dans une base de données secrète du
gouvernement (États-Unis) à laquelle les citoyens américains peuvent accéder (avec
certaines restrictions) en utilisant le Freedom of Information Act ( Loi sur la
liberté d’information ). Elle est divisée en catégories qui incluent les vaccins
administrés, les types de réactions, des informations sur les admissions et les
décès, et plus encore.
VIDEO EN ANGLAIS :
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